Partie 2 : Nos experts corrigent les erreurs de numérisation

12.12.2018 // Timothée Hostettler

Voici la deuxième partie de notre série « digitalisation des fiduciaires ».

Vous vous en souvenez ?

Nous sommes bien en train de faire le ménage ! Mais ne vous inquiétez pas, nous ne venons qu’avec de bonnes intentions. Nous éliminons les erreurs qui circulent dans le monde analogique et numérique. Dans la 1ère partie de notre série, nous avons pu démanteler une partie des mythes et ainsi créer un soupir de soulagement :

  • Les comptables sont toujours nécessaires, même si les robots frappent déjà à la porte.
  • Les dossiers sous forme numérique sont encore (plus) en sécurité, même à l’extérieur de leur armoire poussiéreuse.
  • La numérisation des processus d’affaires n’est pas seulement un sujet d’actualité pour les grandes entreprises, mais aussi pour les PME.

 

Et maintenant nous allons faire le ménage dans les prochaines « zones grises ». Nous sommes impatients d’y être. Vous aussi ?

Erreur n° 4 : Le papier est mort !

Pas du tout ! L’imprimé a changé, comme tout le reste. Ce n’est pas parce que nous introduisons des processus numériques qui simplifient énormément notre travail et notre vie quotidienne que l’imprimé est en train de mourir. Ce serait triste ! Tout le monde attend avec impatience de recevoir du courrier à la maison. D’accord, peut-être pas forcément du courrier sous forme de factures. Mais à quel point est-ce joli de recevoir une carte écrite à la main ? Si vous le souhaitez, vous pouvez ensuite les numériser et les placer dans votre boîte aux lettres numérique. Bien que les papeteries et les imprimeries enregistrent une légère baisse, il n’y a aucun signe d’un effondrement massif. Du moins pas pour ceux qui optent pour l’ère du numérique malgré un produit analogique. Il y a ici la possibilité de mettre en place des stratégies afin d’augmenter la fréquence et l’efficacité et donc d’intégrer des offres numériques dans l’activité principale analogique.

Erreur n° 5 : Les fiduciaires doivent détenir un diplôme en informatique.

Bien entendu, les fiduciaires doivent avoir une affinité pour l’informatique afin de répondre à l’exigence numérique. Ceci est également confirmé par la Treuhand Suisse. Ceci est particulièrement important pour les petites sociétés fiduciaires, car les grandes sociétés sont en mesure d’engager des experts en conséquence. Les nombreux processus qui sont en train de se mettre en place doivent être compris et finalement intériorisés. Ce n’est qu’ainsi que le client peut compter pleinement sur son partenaire de confiance et savoir qu’il est entre de bonnes mains. Cependant, un diplôme en informatique n’est certainement pas nécessaire pour cela. Si vous vous intéressez aux nouvelles technologies, le changement numérique devient plus facile et les nouvelles connaissances s’acquièrent plus rapidement. Les fiduciaires à qui les connaissances de base de la numérisation manquent, peuvent soit se mettre à jour eux-mêmes par le biais d’un large éventail de cours de formation continue, soit élargir leur équipe avec un spécialiste expérimenté. Bien entendu, vous pouvez également compter sur nous pour la numérisation de vos processus d’affaires. De l’introduction d’une solution logicielle à l’implémentation globale d’un environnement système en réseau – les experts d’intusdata vous conseillent de manière compétente et individuelle.

Erreur n° 6 : La numérisation relève exclusivement du département informatique.

Là aussi, nous ne sommes pas du tout d’accord. La numérisation commence avant tout au niveau de la direction. Parce que là ou les décisions stratégiques sont prises, la numérisation doit être ou devenir un sujet central. Si la direction est d’accord et convaincue de la transformation numérique du système fiduciaire, les chefs de projet ont beaucoup plus de facilité pour planifier et exécuter les multiples processus de manière propre et efficace. Le service informatique se tient à votre disposition pour vous conseiller mais n’est responsable pour la stratégie que  lors de la mise en œuvre.
Une équipe de compétences doit être constituée avec des décideurs, des chefs de projet et des collaborateurs experimentés. C’est alors qu’un projet réussi peut se développer et qui peut s’appuyer sur ces ressources importantes à tout moment.

Comme vous pouvez le constater, les erreurs sont rapidement relativisées et la mise en œuvre des sujets dits « difficiles » est chose facile à réaliser. Ce qu’il faut, ce sont des spécialistes qui comprennent ce qu’ils font et des gens qui soutiennent de façon convaincante les nouvelles décisions. Avec nous comme partenaire, vous êtes en sécurité.