Digipedia fiduciaire intusdata : de A comme Archivage à E comme E-facture

02.11.2022 // intusdata

Cloud computing, processus métier numériques ou e-facture – tous ceux qui veulent avoir leur mot à dire dans la numérisation de la branche fiduciaire devraient en connaître les termes. Voici alors notre petit Digipedia, créé pour vous, pour présenter quelques mots-clés et sujets concernant la numérisation fiduciaire. Aujourd’hui, nous commençons avec A comme Archivage et terminons avec E comme E-facture.

A – Archivage 

Un archivage conforme à la loi et à l’épreuve de l’audit peut remplacer une archive papier. Des solutions logicielles appropriées telles que Kendox InfoShare sont utilisées à cet effet. Ce type de programme permet l’archivage centralisé, inaltérable, inviolable et traçable des fichiers et documents importants pour l’entreprise. L’ensemble du cycle de vie des documents peut être géré, de la création à la destruction contrôlée de l’information. Avec une GED et une eArchive, les fiduciaires peuvent offrir à leurs clients une nouvelle valeur ajoutée attrayante.

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B – To be or not to be 

« Cloud or not cloud » demeure le sujet principal de nombreux congrès, dans les revues spécialisées et sur les blogs Internet. Une nouvelle génération de clients s’attend de plus en plus à accéder aux données en ligne, à les saisir au besoin et à communiquer avec la société fiduciaire par internet. Grâce à un cloud fiduciaire sécurisé, les deux parties ont accès aux mêmes documents en tout temps, ce qui élimine le besoin de saisies en double qui prennent beaucoup de temps. Les deux parties travaillent avec la même base de données en tout temps, éliminant ainsi les sources d’erreur au moment où l’échange électronique de données n’est plus nécessaire. L’échange physique des documents papier est également considérablement réduit, ce qui rend les deux parties plus rapides et économise de l’espace dans les archives. Les mandants ont également accès en ligne aux données de leur entreprise à tout moment, ce qui augmente leur satisfaction.

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C – Cerveau humain – le Deep Learning

Dans le cadre de Machine Learning, Deep Learning est une méthode spéciale de traitement de l’information dans les machines (ou ordinateurs). Cette discipline utilise des réseaux neuronaux ainsi que de grandes quantités de données et est basée sur le fonctionnement du cerveau humain. Le système peut relier encore et encore les connaissances acquises à de nouveaux contenus et ainsi se former davantage. La machine est ainsi en mesure de faire ses propres prévisions et de prendre ses propres décisions. Contrairement à l’apprentissage machine, où les gens interviennent dans l’analyse des données et le processus décisionnel, l’apprentissage approfondi laisse le processus décisionnel à la machine. C’est le cas par exemple de l’assistant linguistique Siri d’Apple et des véhicules autonomes. Les nouvelles possibilités qu’ouvre cette technologie dans la branche fiduciaire et la comptabilité financière ne peuvent guère être estimées à l’heure actuelle. Nous vous tiendrons au courant !


D – David & Goliath – jamais trop petit pour des modèles d’affaires innovants

Grâce à l’utilisation ciblée de nouvelles technologies et de services innovants, les fiduciaires se différencient sur le marché et créent de la valeur ajoutée pour leurs clients. Ils peuvent offrir des services existants de meilleure qualité ou bien des prestations entièrement nouvelles. Selon nous, la force d’innovation n’est pas une question de taille d’entreprise. Il existe de nombreuses petites sociétés fiduciaires dont les offres numériques innovantes peuvent soutenir de manière proactive leurs clients dans leur numérisation et offrir une nouvelle valeur ajoutée. Des solutions logicielles modulaires nous permettent de composer un ensemble de services en fonction des besoins des clients. Ce qui signifie, que seules les applications dont un client particulier a besoin sont mises à disposition. En plus, ils peuvent saisir eux-mêmes des transactions simples et ont accès à tout moment aux informations actuelles et aux chiffres clés. Grâce à des interfaces ouvertes, les systèmes existants peuvent également être reliés entre eux.


E – E-facture & ISO 20022

La nouvelle norme ISO 20022 définit une norme commune pour les opérations de paiement – un langage standard compréhensible par l’ensemble des acteurs du marché. La normalisation englobe l’échange de messages dans les opérations de paiement, en particulier la préparation et l’enregistrement des paiements, ainsi que la notification. Avec l’introduction du trafic des paiements harmonisé, tous les formats propriétaires tels que OPAE et BVR (Post) et DTA (Banque) ont été remplacés par des messages ISO 20022. Avec le format ISO 20022, dans le domaine des factures entrantes, l’automatisation complète est réaliste.  À l’avenir, les positions ouvertes pourront être clôturées de manière beaucoup plus automatique qu’aujourd’hui. Avec la diffusion croissante des E-factures, la lecture complète des données des documents ne pose plus aucun problème.